Les ambitions du doctorant au fil du temps"

Être doctorante et mère à la fois

u égard aux nombreuses remarques, mêlées tantôt d’étonnement, tantôt de scepticisme, qui me sont adressées lorsque je fais le récit de ma première année de contrat doctoral, qui est aussi celle de la naissance de ma fille, il me semble important de partager mon expérience afin d’infirmer l’idée selon laquelle études et maternité ne peuvent guère se côtoyer.
Ma démarche sera simple : elle consistera à déjouer plusieurs préjugés sur la question et à rassurer ceux ou celles qui souhaitent mener de concert ces deux beaux et honorables projets que sont la thèse et l’accompagnement d’un enfant dans les premières années de sa vie. Aucun prosélytisme de ma part : je n’ai nullement l’intention d’encourager la natalité pendant la thèse ! J’aborderai chronologiquement chacune des questions, tant d’ordre personnel que d’ordre administratif et professionnel, qui se posent au gré des années de doctorat.

Comment concilier la thèse et l’arrivée d’un enfant, voire plus généralement, la thèse et la présence d’un enfant chez soi ?


Disons d’emblée qu’il n’y a pas de période plus propice qu’une autre pour se lancer dans un projet de grossesse pendant la thèse. Je connais une jeune femme qui a donné naissance à son 4è enfant six mois à peine avant de soutenir une thèse unanimement saluée par le jury ! Dans mon cas, mes recherches n’en étaient qu’aux prémisses lorsque ma fille est née. Quel que soit le cas de figure, les débuts de la maternité nous imposent une vie plus sédentaire qu’à l’ordinaire – mais là encore, la contrainte varie selon les choix d’allaitement, de mode de garde qui sont faits – et nous obligent à renoncer à certains déplacements. Néanmoins, il suffit déjà de ne pas habiter dans la ville de son université pour être confronté parfois à de telles frustrations. Pour ma part, je n’avais pas prévu de colloques cette année-là et j’ai pu compenser au cours des années suivantes. N’oublions pas, enfin, qu’un nourrisson dort normalement beaucoup et laisse du temps pour travailler !


Il va de soi qu’un mode de garde doit être envisagé rapidement : s’il est aisé de travailler jusqu’au premier anniversaire de son enfant, il est presque impossible, à partir de là, de s’adonner sérieusement aux tâches universitaires tout en s’occupant de lui. L’on est trop souvent sollicité, sans compter que la mise en concurrence des deux projets nuit et à l’un et à l’autre : soit l’on culpabilise de ne pas travailler, soit l’on s’en veut de ne pas consacrer assez de temps à son enfant. Mieux vaut accepter de ne pas être à ses côtés au cours de la journée et partager avec lui les heures de la fin d’après-midi jusqu’à la soirée.

 Peut-on facilement faire reconnaître et valoir son congé maternité par l’administration lorsqu’on souscrit à un contrat doctoral ?


Oui. Quand bien même la future mère serait semestrialisée et devrait partir au début du mois de novembre en congé de maternité, on ne peut légitimement pas l’en empêcher. Toutefois, je suppose que chaque université procède comme elle l’entend. En outre, le savoir-vivre veut que l’on prévienne le département dont on dépend afin que les responsables puissent prévoir le remplacement des cours.

À Paris III, non seulement la naissance de ma fille a été accueillie avec chaleur, mais j’ai été remplacée pendant mon congé de maternité et déchargée de la correction des copies de partiel. Par politesse et par solidarité pour mes collègues, j’ai proposé d’assurer moi-même ces corrections, dans la mesure où l’on me faisait parvenir les copies. J’ai aussi indiqué que l’on pouvait aménager mon travail sur l’année– j’étais semestrialisée – de façon à rattraper d’une autre manière les quelques heures manquantes. L’on m’a rétorqué qu’il n’y avait aucune raison que je ne bénéficie pas des conditions dont jouissent les futures mères pendant un congé de maternité.
Je rappelle que le contrat doctoral doit faire apparaître un alinéa relatif aux congés maladie et autres absences. Toute doctorante peut donc demander la prolongation de la durée de son contrat, soit 4 mois, à l’issue des trois années officielles de son contrat. J’ignore, en revanche, comment se présente la situation lorsqu’on est ATER, mais dès lors que l’on souscrit à un contrat de travail, l’on bénéficie d’une protection sociale et de droits.

 La conciliation des deux projets peut-elle être mal reçue par le milieu universitaire ?


La réponse est oui, dans la mesure où chacun est libre de penser que la priorité doit être donnée à la thèse sur l’établissement d’une vie de famille. À l’inverse, j’ai déjà été félicitée de conjuguer les deux au nom de principes tout à fait personnels. Ceci dit, l’on peut aussi être en couple avec quelqu’un qui a déjà des enfants, sans que personne n’en sache rien.
De façon générale, la sollicitude vis-à-vis de nos collègues et de nos responsables est récompensée par celle des différents interlocuteurs auxquels nous avons affaire au cours de la thèse. Il suffit de prévenir tous ceux qui pourraient être importunés par notre absence – programmée ou non… certains congés sont anticipés contre notre gré. J’avais personnellement fait le choix d’avertir mon directeur de thèse et mon département de recherche avant même le début des cours, afin de prévoir d’éventuels remplaçants en cas de problème.
Aucune université ne peut en théorie refuser d’attribuer un contrat sous prétexte que la doctorante est enceinte et ne pourra, par conséquent, se consacrer pleinement à sa thèse. En pratique, rien n’empêche de maquiller les raisons qui ont prévalu à ce refus… C’est un risque à prendre.
De fait, il n’y a pas de doctorant modèle. Tel croit être beaucoup plus efficace parce qu’il n’a pas à consacrer de temps à un enfant qui sacrifiera plusieurs heures de travail hebdomadaires pour une passion, un loisir, une cause, ou pour des raisons familiales ou personnelles… En un sens, je m’aperçois que l’organisation de mes journées, conditionnée par le rythme de mon enfant, m’a appris à être très efficace. Ne généralisons pas : il faut du temps pour faire de la recherche, mais il n’est pas rare que l’on mène plus rondement son travail lorsqu’on sait que notre journée s’achève à 16h30 que lorsqu’on ne donne aucune limite à son emploi du temps.

Je terminerai par une remarque simple : tout est question de priorité. Il est des années où l’on privilégie les cours, d’autres où la rédaction passe avant toute chose. La grossesse et l’éducation d’un jeune enfant ne sont qu’une variable supplémentaire, au même titre que notre vie sentimentale. L’essentiel consiste d’abord à assumer son choix, à accepter les contretemps et à s’accorder une marge de manœuvre afin de ne pas être pris au piège par un calendrier trop serré.
par Bénédicte Peslier-Peralez Membre de l'assocation Enthèse

Source :http://enthese.hypotheses.org/157



Comment faire face au blocages lors de la rédaction de la thèse ?



1) Se fixer des objectifs spécifiques et atteignables

2) L'écriture libre et la méthode par brouillons successifs

3) Établir un horaire de travail structuré

4) Rechercher les exceptions

5) Essayer quelque chose de différent

6) Porter attention à votre discours interne

1) Se fixer des objectifs spécifiques et atteignables

Si vous vous sentez bloqué, bloquée, la première chose à faire est de diminuer vos objectifs d'écriture. Pourtant, avec le temps qui passe, le sentiment de devoir « vous rattraper » vous poussera probablement à vouloir faire l'inverse, mais cela a généralement pour effet d'augmenter la pression et de perpétuer le blocage. Fixez-vous au départ des objectifs de rédaction très petits et faciles, une partie bien spécifique à la fois : faites attention de ne pas trop vous en demander, vous devez vous désensibiliser graduellement.

Vous ne pouvez vous attendre à rédiger une bonne partie de votre mémoire ou de votre thèse en quelques jours, comme cela pouvait être le cas pour les travaux écrits faits dans le cadre de vos cours (ex. : écrire intensivement la majeure partie du travail pendant une fin de semaine). La tâche est de trop grande envergure pour être approchée de cette façon.

Privilégiez des périodes d'une durée de deux ou trois heures pour la rédaction, et complétez votre journée avec d'autres tâches. Cette approche est souvent plus productive à long terme. Le texte Les défis de la gestion du temps aux cycles supérieurs pourrait vous être utile.

2) L'écriture libre et la méthode par brouillons successifs

Cette méthode consiste à écrire ce qui vous vient à l'esprit sans vous arrêter et sans vous préoccuper de la cohérence des idées ou de la syntaxe. Même si les idées générées semblent confuses, elles deviendront de plus en plus claires en écrivant. La tendance à relire et réécrire sans cesse les mêmes paragraphes est antiproductive. 


Lorsque vous débutez l'écriture, ayez en tête que vous rédigez d'abord pour vous-même, afin de résumer ce que vous savez et les informations obtenues suite à vos lectures et vos recherches. En écrivant votre première version, vous verrez à ce que vos idées soient mieux consolidées et bien présentées, et à ce que votre lecteur puisse bien vous comprendre. Écrivez plus que moins, sans critiquer votre travail à ce stade-ci, jusqu'à ce que vous ayez atteint votre objectif d'écriture pour cette journée.

Voici à titre d'exemple les étapes qui pourraient être suivies en utilisant cette méthode :

a) Écrivez librement : générez les idées principales, écrivez tout ce qui vous vient à l'esprit pour une section donnée
b) Triez et organisez les points selon une structure
c) Formulez les idées en phrases complètes et en paragraphes, améliorez les transitions (rédaction de votre première version)
d) Relisez et corrigez votre première version
e) Révisez et améliorez vos versions subséquentes (jusqu'à votre version finale) 

 

3) Établir un horaire de travail structuré

Il importe de vous créer des habitudes d'écriture constantes (ex. : quatre demi-journées par semaine). Visez la régularité dans la rédaction, peu importe que vous sentiez l'inspiration ou non. La continuité dans la tâche d'écriture est importante puisqu'elle permet de conserver vos idées actives dans votre esprit et de diminuer le degré d'anticipation et d'anxiété face à la tâche. Cela vous évite d'osciller entre des périodes de surproductivité (pouvant conduire à l'épuisement) et à l'inverse, des périodes d'aversion pour l'écriture. Écrire régulièrement et lentement favorise la construction des idées : écrire produit des idées, qui favorisent l'écriture, qui entraîne l'émergence d'autres idées... La rédaction ne doit pas occuper toute la place, mais votre travail ne doit idéalement pas non plus être laissé de côté pendant de longues semaines.


  Commencez votre journée par la période d'écriture. Plutôt que d'attendre un état d'inspiration pour écrire, tentez de vous placer dans des conditions favorables (ex. : endroit adéquat, où le risque d'interruption est limité). Préparez votre esprit au travail intellectuel, en vous laissant une période de réchauffement (ex. : relire la partie rédigée la veille).

En outre, l'écriture est une tâche où le rejet et la critique sont courants. Elle offre peu de récompenses immédiates. Assurez-vous de vous offrir des récompenses pour ce qui a été accompli plutôt que des punitions pour les objectifs non atteints. Revoyez les objectifs fixés si ceux-ci ne sont que rarement atteints. Les loisirs ou activités qui vous font plaisir sont une bonne source de récompense, si vous vous les accordez après un effort (et non avant !).

 

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4) Rechercher les exceptions

Observez-vous et posez-vous ces questions : quels sont les moments où le blocage ne se manifeste pas ? Où êtes-vous naturellement plus productive, productif ? Identifiez ce qui fonctionne pour vous, comment vous avez procédé lors de ces moments. Tentez de reproduire les conditions dans lesquelles vous avez le sentiment d'avoir avancé et ressenti de la satisfaction face à votre travail. 



5) Essayer quelque chose de différent

Si les solutions tentées jusqu'à présent s'avèrent peu efficaces, essayez quelque chose de différent de ce que vous avez l'habitude de faire. Changez d'environnement (ex. : travailler dans un bureau plutôt qu'à la maison). Écrivez à la main si vous avez l'habitude d'écrire à l'ordinateur, enregistrez-vos idées en parlant sur un dictaphone. Changez l'ordre dans lequel vous rédigez vos sections (ex. : commencer par une section plus facile, ne pas s'acharner à rédiger l'introduction en premier).

6) Porter attention à votre discours interne
Les pensées qui vous habitent avant, pendant et après vos périodes de rédaction ont un impact sur votre motivation et votre satisfaction. Essayez d'entretenir un discours encourageant face à vos efforts, parlez-vous comme le ferait un entraîneur sportif, qui serait derrière vous pour vous soutenir dans l'atteinte de votre objectif. Pour une meilleure compréhension du lien entre votre mode de pensée et vos états émotifs, lisez le texte Stress, anxiété et perceptions : maîtriser les pensées toxiques.









Rédigé par :
 Véronique Mimeault, psychologue

Organiser son Doctorat


Le plan de thèse, un objet toujours changeant (ou l’intérêt

de la cartographie heuristique)



 
Entre le projet de thèse initial et le plan de thèse détaillé il se passe plusieurs années de recherche, d’évolutions, de découvertes. Garder une trace de cette évolution est nécessaire afin de rendre plus dense sa réflexion, mais compliqué lorsqu’on utilise simplement du traitement de texte. Chacun possède sa méthode pour mener cette réflexion ; en voici une s’appuyant sur des logiciels de cartographie mentale.
FreeMind, XMind et VUE (Visual Understanding Environment) sont des logiciels opensource écrits en java (multi pate-formes) permettant de faire des “cartes mentales” (ou “carte heuristique”, “mind maps”). Il s’agit ici de voir en quelle mesure ces programmes permettraient : 1) de s’affranchir de Word et de sa linéarité pour construire un plan de thèse, 2) de permettre à ce plan de thèse de pouvoir évoluer dans le temps au fur et à mesure que les idées et références l’enrichissent.
 
 

XMind
Le site officiel de XMind : http://www.xmind.net/










Comment faire une introduction ?

Normalement, l’élaboration d’une introduction intervient en dernier lieu, après l’analyse du sujet, la problématique, la mobilisation des connaissances, la construction du plan et la rédaction de la conclusion. C’est une fois que vous savez exactement ce que vous voulez démontrer et comment vous y prendre que vous rédigez l’introduction. Il est conseillé de rédiger au brouillon l’introduction, au moins dans ses grandes lignes. 




Les 600 premiers mots en anglais que vous devez connaitre

The first 600 most common words in English for

 

International Communication


With easy-to-follow rules and tips, and with examples taken from published and unpublished papers, you will learn how to:
  • prepare and structure a manuscript
  • increase readability and reduce the number of mistakes you make in English by writing concisely, with no redundancy and no ambiguity
  • plan and organize your paper, and structure each paragraph and each sentence so that the reader can easily follow the logical build-up towards various conclusions
  • write a title and an abstract that will attract attention and be read
  • decide what to include in the various parts of the paper (Introduction, Methodology, Discussion etc)
  • select from over 700 useful phrases
  • highlight your claims and contribution
  • avoid plagiarism and make it 100% clear whether you are referring to your own work or someone else’s
  • choose the correct tenses and style (active or passive)









Dix conseils pour améliorer votre communication lors d'une soutenance










Par Danielle Fischer
1. Oubliez tout ce que vous savez des communications scientifiques. Vous devez adapter votre exposé à votre auditoire – soit « un auditoire composé de personnes éduquées mais profanes en la matière ». Ne vous présentez pas, ne remerciez pas les gens qui travaillent avec vous ni les organismes de financement et mettez de côté les données!

Nous n’avons pas besoin de connaître les subtilités de vos résultats. Ce qui intéresse votre auditoire, ce sont les grandes lignes de votre recherche. Expliquez ce que vous faites, sans entrer dans trop de détails!

Comment Soumettre et Valoriser un Article scientifique?



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Aide syntaxe pour les doctorants : Une liste d'expressions qui permettent de nuancer vos propos (: Part 1)


http://www.info-webmagazine.com/blog/view/5314/aide-syntaxe-pour-les-doctorants-une-liste-d-expressions-qui-permettent-de-nuancer-vos-propos-part-1

    10 Conseils Pour Ecrire Des Titres « Exceptionnels » Pour Vos Articles !

    Le titre est la partie la plus importante de votre article car c’est le premier élément que les internautes découvriront via un réseau social, un lecteur de flux ou encore un moteur de recherche.

    C’est d’autant plus vrai qu’aujourd’hui les internautes sont noyés sous l’information et qu’ils procèdent à une sélection stricte afin d’optimiser leur temps de lecture.

    conseils-ecrire-titre-exceptionnel-article-blogAlors comment sortir du lot et rédiger un titre percutant afin de créer du trafic vers votre blog ?
    Voici une liste de 10 conseils qui vous aideront à écrire des titres « exceptionnels » pour vos articles avec désormais plus de facilité :)

    1. Attirez l’attention .. ou passez votre chemin

    C’est de loin l’élément qui déterminera votre succès à transformer des internautes en lecteurs. Votre titre doit attirer l’attention et se distinguer des autres titres avec lesquels il est en compétition. Votre objectif est de donner envie au lecteur d’en apprendre plus sur le sujet que vous traitez.
    Pour autant, le danger consiste ici à surenchérir votre titre à n’importe quel prix pour en apporter une version qui ne correspond pas ou peu avec son contenu. Un visiteur déçu par son expérience est un potentiel consommateur et client en moins.

    Agissez avec éthique et vos lecteurs vous en remercieront. C’est un pas garanti vers l’instauration d’une relation de confiance entre un rédacteur et son audience.

    2. Evitez le sensationnalisme

    Les titres qui promettent des choses qui ne sont pas réalisables compromettent votre crédibilité. Ils apparaissent aux yeux de votre audience comme du spam et sont considérés comme une insulte à leur intelligence.
    Un bon titre est donc un titre plausible qui ne met pas en doute la véracité de vos propos.

    3. Utilisez des mots puissants

    Certains mots sont capables de déclencher une réaction émotionnelle ou de susciter immédiatement l’intérêt des individus c’est notamment le cas des « triggers words ».
    Lorsqu’ils sont employés dans un titre, ils permettent de créer une attraction intense pour les lecteurs qui sont alors plus disposés à découvrir le reste de votre article.
    Parmi eux, nous retrouvons les mots suivants : gratuit, secret, booster, tabou, banni, conspiration, dangereux, excellent, exceptionnel, meilleur, brillant, incroyable, gagnez etc …

    4. Ajoutez des mots-clés

    Si vous connaissez votre audience sur le bout des doigts, vous savez quels sont les sujets exacts qui l’ intéresse. Chacun de vos sujets possède une liste d’expressions qui sont régulièrement recherchées par vos lecteurs.
    L’idéal est donc de cibler et d’employer les expressions qui constituent la longue traîne. La difficulté de l’exercice consiste à trouver des expressions pour lesquelles la demande est suffisante et la compétition raisonnable.
    Le placement des mots-clés se fait de préférence en début de titre.
    Quelquefois, il n’est pas toujours possible de trouver des mots-clés correspondant à des critères de référencement qui permettront à vos articles de se positionner rapidement sur la 1ère page de Google. Vous pouvez alors choisir d’augmenter la fourchette du critère de concurrence au seuil supérieur mais il vous faudra alors plus de temps et de backlinks réguliers de qualité pour que Google vous fasse l’honneur de sa 1ère page.
    Si la faisabilité technique du référencement n’est pas possible, écrivez tout simplement un titre qui parlera à vos lecteurs.

    5. Employez des superlatifs (quand c’est possible)

    Les superlatifs permettent de mettre l’accent sur l’intensité d’une notion exprimée. Lorsque vous proclamez que quelque chose ou que quelqu’un est le mieux placé ou le pire indiqué pour réaliser une action précise, vous attirez instantanément l’attention de vos lecteurs.
    Il peut également s’agir d’un excellent moyen pour challenger une opinion communément admise et ainsi mettre en place une discussion – passionnée ;)

    6. Faîtes court

    Les titres courts sont les meilleurs ! Des études ont montré que les internautes privilégient les titres brefs. Peut-être sont-ils considérés comme synonymes d’un contenu moins long et donc plus rapidement scannable ?
    Par ailleurs, en optimisant la longueur de vos titres, vous facilitez leur diffusion sur le web en particulier pour ceux qui transitent par Twitter où la longueur maximale autorisée pour un tweet est de 140 caractères.
    Enfin, Google n’indexe pas plus de 60 caractères pour une balise titre – espace compris. Donc tous les mots présents au-delà de cette limitation n’apparaissent pas dans les SERPs.

    7. Recourez aux signes de ponctuation

    Il existe plusieurs écoles concernant ce sujet. Cependant, j’ai remarqué de bons résultats pour les titres qui emploient certains signes de ponctuation comme les guillemets sur un mot ou une expression de la phrase (ex: Existe t-il vraiment des « experts » social media en France aujourd’hui ?), l’ajout de crochets (ex : [Etude], [Interview], [Video] etc …), l’emploi de parenthèses sur une partie du titre (ex: Téléchargez votre livre pour … (Et c’est gratuit !)) etc …
    Bien sûr, les questions constituent également de très bons titres.

    8. Capitalisez chaque première lettre des mots

    L’une des questions à laquelle je dois souvent répondre sur Twitter est pourquoi les titres de mes articles sont partiellement écrits en majuscules. Non, ce n’est pas « pour faire comme les Américains » ;) Mais, là-aussi des enquêtes ont mis en évidence une corrélation entre la capitalisation des mots d’un titre et le taux de clics.
    Cette technique aide à attirer l’attention sur le titre et à le différencier des titres concurrents. Il s’agit également d’une formule utilisée par les annonceurs pour les liens sponsorisés.

    9. Personnalisez votre titre

    En personnalisant vos titres, vous produisez un contenu qui s’adressent directement à votre audience par opposition aux gens en général. La connexion avec l’article devient alors plus intime et il y a de fortes chances pour que vos lecteurs souhaitent plus facilement lire votre contenu pour vérifier s’ils se retrouvent dans vos propos ou si vos informations peuvent être applicables à leur situation personnelle.
    Si vous avez déjà établi un dialogue avec votre communauté ou que vous êtes considéré comme une référence dans votre secteur d’activité, vous avez également la possibilité d’employer la première personne du singulier. Vos lecteurs voudront en savoir plus sur vous en particulier si vous parlez de votre expérience à réaliser un objectif précis.

    10. Restez simple

    La simplicité est de rigueur afin que votre titre ne soit pas mal interprété. Faire passer un message en moins de 60 caractères n’est pas toujours évident alors restez éloigné des tournures pleines d’humour, des jeux de mots, des propos intellectualisés, des métaphores ou d’un vocabulaire que votre audience n’emploie pas au quotidien.

    A Votre Tour Maintenant !

    Quelles sont les techniques listées ci-dessus que vous utilisez avec succès ? Quelles sont celles que vous souhaitez ajouter à cette liste non exhaustive ?
    Source :http://www.emarketinglicious.fr/blogging/10-conseils-pour-ecrire-des-titres-exceptionnels-pour-vos-articles



    Guide pratique de la rédaction scientifique en anglais (Téléchargement gratuit)

    Télécharger un article gratuitement



    1-Le site http://sci-hub.org/



    1-Le site http://sci-hub.org/

    1- Il faut chercher le DOI de votre article
    2- Aller sur le site http://sci-hub.org/ et Coller le DOI dans le champ de recherche

    - Des fois même avec le DOI ça ne marche pas donc il faut entrer le titre de l'article ensuite le site le cherche sur Scholar après il faut juste cliquer sur le lien du pdf.
    - Pour les article http://www.ncbi.nlm.nih.gov/, soit vous trouvez le DOI de l'article (quand il est disponible), soit vous utilisez le PMID. Ensuite, il faut aller sur: "LinkOut - more resources" et suivez un des liens pour avoir la version full text (toujours il faut chercher le DOI).

    2-Le site http://libgen.org/scimag/.

    Sur ce site,vous pouvez télécharger gratuitement des articles de toutes les spécialités

    8 Outils pour détecter du plagiat (Partagez)

    Nous vous proposons plusieurs outils utiles, pratiques et faciles d’utilisation pour détecter toute forme de plagiat.
    À l’heure du numérique et du web, il peut s’avérer assez simple de repérer du plagiat. En quelques clics à peine, un texte tout droit sorti de votre imagination peut vite se retrouver sous un nom qui n’est pas le vôtre.
    La plupart des sites que nous vous proposons sont simples d’utilisation, ne requierent pas d’enregistrement et sont gratuits.
    Il vous faudra bien souvent faire un copier-coller de votre texte à l’endroit indiqué sur le site et le laisser faire la recherche pour vous.


     Services de détection de plagiat

     


    Plagiarism

    Ce site propose de faire une recherche via Goolge. Attention, via ce site, vous ne pouvez excéder les 32 mots ! Néanmoins vous pouvez créer une Google Alert afin d’être tenu au courant par email dans le cas où un plagiat apparaîtrait !
    Positeo

    Ce site, en plus de faire la recherche afin de savoir si votre contenu est dupliqué, vous indique à quel pourcentage il l’est !

    PlagScan 

    Un des rares sites payant qui figure dans la liste. Par contre, cet outil est extrêmement précis, et disponible en quatre langues. 
    Plagium

    Possibilité de faire une recherche qui peut aller jusqu’au 25 000 caractères, et en beta, une recherche sur les réseaux sociaux.
    Compilatio


    Plateforme orientée pour l’enseignement, Compilatio vous propose deux approches, soit en tant qu’étudiant, afin de vérifier l’originalité des travaux, soit en tant qu’enseignant afin de retrouver et mesurer les similitudes dans les travaux.


    Viper 





    Viper est un détecteur de plagiat gratuit sous forme de programme à télécharger directement sur votre ordinateur.
    DupliChecker

    Copyscape recherche le plagiat qu’il pourrait y avoir sur une page web. Il vous suffit donc d’entrer votre page web et de laisser le site faire son travail.
    PlagTracker

    Sur ce site, il vous suffit d’uploader votre document afin de vérifier toute forme de plagiat.

    En conclusion

    Rappelez-vous que ces outils peuvent être complémentaires ! N’hésitez pas à en utiliser plusieurs afin d’être certain que vous n’êtes pas victime de plagiat. D’autres outils, d’autres logiciels existent. Cette liste n’est pas exhaustive !