Méthode pratique pour écrire et publier la recherche

Ecrire et publier la recherche


La pertinence de ce qui sera écrit à propos de la recherche constituera aussi un élément déterminant permettant de fonder sa validité. Ainsi, un rapport de recherche devra comporter tous les éléments qui permettront de comprendre précisément comment se sont déroulées les différentes opérations liées au choix et à la conception des outils, au recueil des données et à leur traitement. N’oublions pas qu’un des critères de la recherche scientifique est la reproductibilité  (ou réplicabilité) de l’expérience. En cohérence avec ce principe, il conviendra que le rapport de recherche fournisse, à la personne qui en prendra connaissance, tous les éléments qui lui permettront de reproduire la recherche (sur un autre échantillon issu de la même population) afin de vérifier s’il obtient les mêmes résultats. Remarquons que ce principe de réplicabilité est valable quel que soit le type de la recherche. En conformité avec ce principe, on insistera dans une recherche quantitative sur la nécessité de bien d’écrire la population de référence ainsi que sur les procédures mises en œuvre au moment de la constitution de l’échantillon. Dans une étude qualitative, on insistera sur la nécessité de décrire de manière très précise le contexte et le milieu dans lequel la recherche s’est déroulée.

image1.Ecrire la recherche

La phase de rédaction du rapport de recherche est essentielle puisque aussi longtemps que celui-ci n’a pas été écrit, la recherche n’existe pas en dehors des personnes qui y ont participé.
Il existe plusieurs modèles pour organiser un rapport de recherche. Ces modèles peuvent varier selon qu’il s’agit d’une recherche plutôt quantitative ou qualitative mais aussi en fonction du support de publication choisi (un mémoire, une thèse, une monographie, une communication ou un article de revue scientifique).
D’une manière générale, les différents formats que peut adopter un rapport de recherche reflètent assez fidèlement le cheminement que nous avons décrit dans ce cours avec parfois une insistance plus grande sur certaines parties ou l’utilisation de termes différents pour désigner certaines sections. Par exemple, on fera tantôt appel à une section appelée discussion pour désigner, dans un rapport,  la partie consacrée à l’interprétation des résultats et à leur mise en relation avec les études antérieures alors que, dans d’autres cas, on trouvera ce type d’analyse au niveau des conclusions de l’étude.
L’écriture d’un rapport de recherche fait appel à un style direct, clair et précis en évitant le recours à un jargon prétentieux qui n’amène généralement rien tout en décourageant certains lecteurs. Le pronom personnel de majesté « nous » est généralement préféré au « je » pour désigner l’auteur.
Certaines pratiques sont conseillées en matière d’écriture comme éviter l’usage des abréviations ou encore certaines règles concernant l’écriture des nombres (les nombres de 0 à 10 seront toujours écrits en lettres alors qu’à partir de 11, les nombres sont écrits en chiffres sauf s'ils sont au début d'une phrase).
L’usage des tableaux et figures doit également répondre à certaines règles.  Ainsi, tableaux et figures seront  numérotés séparément (une numérotation pour les tableaux et une autre pour les figures) et seront référenciés dans le texte par des renvois au numéro comme c’est le cas dans ce texte  et non pas au nom du tableau ou de la figure. En outre, chaque tableau et figure comportera un nom et éventuellement une légende qui permettront au lecteur de le comprendre directement.
Pour le reste, on se référera aux indications fournies par les éditeurs qu’il s’agisse d’une monographie ou d’un article scientifique ou encore aux normes éditées par l’American Psychological Association (http://www.apa.org)  dans le cadre de son manuel de publication.

               
 Partie introductive
  • Titre
  • Remerciements
  • Sommaire
  • Liste des tableaux et figures
  • Résumé
      Corps du rapport
  • Etat de la question
    • Problématique de recherche
    • Revue de la littérature
  • Hypothèses et/ou questions de recherche
  • Méthodologie de la recherche
    • Description des sujets et/ou de l’échantillon
    • Instrumentation
    • Plan de recherche et  ou de recueil des données
  • Déroulement de la recherche
  • Présentation et analyse des résultats
  • Discussion des résultats
  • Conclusions et prolongements
  • Références bibliographiques
                       Annexes

Tableau 5.1 : Plan d’un rapport de recherche

Comme l’indique le tableau 5.1, un rapport de recherche comporte une partie introductive dans laquelle on retrouve un certain nombre de rubriques comme le titre, une page de remerciements, un sommaire, une liste des tableaux et figures, un résumé.
Le choix du titre doit être réalisé avec le plus grand soin. La précision du titre est importante car c’est parfois uniquement en fonction de celui-ci que sont réalisés les index de référencement.
Les remerciements sont surtout présents dans les mémoires et thèses et plus rarement dans les articles publiés dans des revues. Lorsqu’ils apparaissent dans des revues, ils sont généralement très courts et font référence à des organismes qui ont supporté la recherche par l’octroi de fonds ou la mise à disposition de ressources.
Le résumé qui apparaît à l’entame du rapport de recherche doit permettre d’expliciter le titre en donnant plus de détails sur le contenu et les résultats de la recherche tout en étant limité à quelques centaines de mots. A titre d’exemple, le dépôt de recherche le plus connu qui est Dissertation Abstracts International exige un résumé comportant au maximum 350 mots.
Le corps d’un rapport de recherche comporte plusieurs sections : l’état de la question, les hypothèses et questions de recherche, la méthodologie de la recherche, le déroulement de la recherche, la présentation et la discussion des résultats, les conclusions et prolongements, les références bibliographiques.
L’état de la question  commence généralement par une brève présentation du problème de recherche (problématique de recherche) qui sera traité suivi d’une justification qui montre l’importance de ce problème.
La revue de la littérature peut soit figurer dans la présentation de la problématique de recherche (pour un article assez court) soit faire l’objet d’une section spécifique (pour un article plus long ou pour une thèse). Il s’agit, à travers une étude détaillée de la littérature spécialisée de donner au lecteur une vue complète du domaine concerné par l’étude sans toutefois se perdre dans des détails ou vouloir embrasser trop large en considérant des recherches qui sortent du champ précis de l’étude envisagée.
A ce niveau, il est important que le chercheur prenne conscience du fait qu’il ne s’agit pas de compiler des résumés ou des notes personnelles mais bien de réaliser une analyse qui mette en évidence les liens et les différences entre les études repérées dans la littérature scientifique afin d’aboutir à un texte cohérent. La revue de la littérature doit aboutir à une synthèse sous la forme d’une problématique de recherche.

Les hypothèses et/ou les questions de recherche font suite à la revue de la littérature et s’articulent étroitement à celle-ci. Il est en effet important, dans un rapport de recherche, de montrer comment les hypothèses et questions découlent de la littérature analysée. Pour formuler correctement une hypothèse de recherche, il faut définir clairement la relation attendue ou la différence entre les variables étudiées mais  il faut aussi pouvoir justifier cette relation ou cette différence à partir de la littérature analysée.
En ce qui concerne les questions de recherche, on s’accorde généralement pour dire qu’elles peuvent être formulées de manière plus générale que les hypothèses surtout si elles constituent le point de départ à une recherche qualitative.
La partie méthodologique du rapport de recherche inclut une description des sujets (échantillon), des instruments et du plan de recherche. Pour une étude qualitative, certains aspects seront davantage détaillés comme la description du site dans lequel les observations ont été réalisées.
La description des participants à la recherche est importante pour permettre de juger de sa validité externe. Il convient à ce niveau de fournir une description de l’échantillon en ce qui concerne l’âge, le niveau d’étude, le statut socioéconomique, la répartition en fonction du genre…Lorsqu’il s’agit d’une recherche quantitative, il est également important de préciser comment l’échantillon a été constitué à partir de la population de référence.
Les outils de recueil de données utilisés comme les tests standardisés, les épreuves sur mesure élaborées pour les besoins de l’étude, les questionnaires, les grilles d’entretien et d’observation devront faire l’objet d’une description détaillée. Lorsqu’il s’agira d’un matériel développé pour les besoins de la recherche, il est important que leur processus d’élaboration soit décrit et que les éléments permettant de vérifier leur validité soient fournis. Une copie des instruments originaux doit figurer en annexe du rapport de recherche.
Dans une étude expérimentale, la description du plan expérimental est particulièrement importante et doit comporter une justification du plan choisi ainsi qu’une discussion permettant d’établir sa validité et montrant que les principaux biais ont été contrôlés. Pour une étude qualitative, le plan de collecte des données doit faire l’objet d’une présentation détaillée de manière à établir la pertinence des données recueillies par rapport aux questions de recherche.
Le descriptif du déroulement de la recherche sera l’occasion pour le chercheur de présenter, étape par étape, comment il a procédé dans la conduite de la recherche. Il est souvent pratique pour réaliser cette description de faire appel à un diagramme chronologique  (diagramme de Gantt) qui permet de visualiser dans le temps les diverses tâches mises en œuvre tout au long de la recherche. Cette description doit être faite avec  le plus grand soin afin de permettre à un autre chercheur de la reproduire et de satisfaire ici à l’exigence de réplicabilité de la recherche.
L’étape de présentation et d’analyse des résultats se présentera sous une forme assez différente selon qu’on se trouvera dans le cas de figure d’une recherche quantitative ou qualitative.

Dans une recherche de type confirmatoire (quantitative), la description des analyses statistiques qui permettront de confirmer ou non les hypothèses prendra une place importante. Il s’agira, pour chaque hypothèse, d’expliquer la technique statistique inférentielle qui a été utilisée, de donner les résultats puis de les commenter. Pour soutenir l’analyse des résultats, des tableaux de données seront fournis ainsi que des indices statistiques tels que des moyennes ou des écart-types. Dans certains cas, on pourra aussi faire appel à des outils de visualisation  comme des graphiques ou des diagrammes.
Dans une recherche exploratoire (qualitative), la présentation des résultats sera basée essentiellement sur des descriptions (sur la base de notes manuscrites, d’enregistrements audio ou vidéo)  et  sur des citations (extraits d’entretien ou d’étude de cas). A ce matériel de base, on peut aussi ajouter les résultats de codages réalisés à partir de grilles qui conduisent à quantifier certaines données sur la base desquelles des outils de visualisation comme des graphiques, des diagrammes ou des techniques d’analyse factorielle exploratoire pourront être mis en œuvre.
Tous les rapports de recherche disposent d’une section dans laquelle les résultats sont discutés (discussion) c’est-à-dire qu’ils sont mis en rapport avec les résultats d’études antérieures en vue de les confirmer, les infirmer ou les nuancer. Cette section peut aussi comporter un certains nombre d’éléments conclusifs par rapport aux résultats de la recherche et à leur portée. Le plus souvent toutefois, ces derniers éléments font l’objet d’une section spécifique intitulée « conclusions et prolongements ».
La présence d’une section spécifique réservée aux conclusions et prolongements permet aussi de sortir plus aisément du cadre parfois étroit de la recherche pour envisager, avec une liberté plus grande, des applications ou des recommandations qui dépassent le cadre strict des résultats observés. Ainsi, au niveau de la discussion, on s’efforcera d’interpréter au plus près des résultats en évitant toute « surgénéralisation » qui aille au-delà de ce qui a été constaté alors que dans les conclusions et recommandations on pourra se donner davantage de liberté pour proposer des prolongements, émettre des opinions ou avancer de nouvelles hypothèses. C’est aussi l’endroit où l’on pourra envisager les implications de la recherche à la pratique pédagogique, suggérer de nouvelles recherches ou proposer des réplications dans des contextes différents.
Outre ces sections qui constituent le corps du rapport de recherche, on trouve aussi des sections consacrées aux références bibliographiques ainsi qu’aux différentes annexes.

En ce qui concerne la bibliographie, on y retrouvera toutes les sources qui sont présentes dans le rapport et uniquement celles-ci. A ce niveau, il est important pour la clarté du référencement d’adopter une norme précise tant pour l’appel aux références que pour la présentation des références au niveau de la bibliographie. Pour cela, on s’appuie le plus souvent en sciences de l’éducation à la norme édictée à ce niveau par l’American Psychological Association (http://www.apa.org). Cette norme précise que l’appel de référence se fera en citant le nom de l’auteur suivi de l’année de publication dans le texte (c’est cette manière de faire qui a été adoptée dans ce texte) et que les documents seront référenciés dans la bibliographie conformément aux exemples présentés dans l’encadré 5.1.

Livre ou monographie 
Cohen, L., Manion, L. & Morrison, K. (2007). Research methods in education. London : Routledge.

Article de revue scientifique
Rourke, L., Anderson, T., Garrison, R.D. & Archer, W. (2001). Assessing social presence in asynchronous text-based computer conference. Journal of distance education. 14(3), 51-70.

Extrait d’ouvrage collectif 
Depover, C., Strebelle, A. (1997). Un modèle et une stratégie d’intervention en matière d’intégration des NTI dans le processus éducatif. In L-O. Pochon & A. Blanchet (Eds.), L’ordinateur à l’école : de l’introduction à l’intégration (pp. 73-98). Neuchâtel : Institut Romand de Recherches et de Documentation Pédagogiques.

Actes de colloque
Dillenbourg, P., Ott, D., Wehrle, T., Bourquin, Y., Jermann, P., Corti, D. & Salo, P. (2002). The socio-cognitive functions of community mirrors. In F. Flückiger, C. Jutz, P. Schulz and L. Cantoni (Eds). Proceedings of the 4th International Conference on New Educational Environments. Lugano, May 8-11, 2002.
Texte extrait d’un site internet
Masciotra, D. 2007 . L’agir compétent : une approche situationnelle. Consulté le 25-06-2009 à partir de  http://www.ore.uqam.ca.

Encadré 5.1 : Présentation de la bibliographie selon la norme APA.

Un rapport de recherche pourra aussi, selon les besoins, comporter des annexes qui présenteront par exemple le détail des résultats, les instruments d’évaluation utilisés en particulier ceux développés pour les besoins de la recherche, les grilles de codage, le verbatim des interviews. Ces annexes pourront se présenter sur papier mais aussi, en particulier lorsqu’elles sont quantitativement importantes, sur un support électronique comme un CD-ROM.

image2. Publier la recherche

Le chercheur est avant tout reconnu par ses publications. Il est donc important pour le chercheur en formation de se préparer à rencontrer les exigences des milieux scientifiques mais aussi de connaître les circuits qui mènent à la publication dans une revue.

Avant tout il faut s’informer sur les différentes revues qui existent dans le champ de recherche par lequel le chercheur est intéressé. A titre indicatif, l’encadré 5.2 présente les principales revues en français dans le champ de l’usage des technologies en éducation. Une fois un premier tour des revues existantes réalisé, il convient de s’informer par rapport au statut scientifique de la revue. Ainsi, certaines revues sont plutôt orientées vers la pratique, il s’agit de revues professionnelles. D’autres mettent davantage l’accent sur la rigueur scientifique des recherches et disposent de ce fait d’une plus grande reconnaissance dans les milieux scientifiques (revues scientifiques).

  1. Apprentissage des Langues et Systèmes d'Information et de Communication (ALSIC) - http://alsic.u-strasbg.fr
  2. Revue de l'Éducation à Distance - http://www.jofde.ca
  3. Distances et savoirs - http://www.cned.fr/ds
  4. Sciences et Technologies de l'Information et de la Communication pour l'Éducation et la Formation - http://sticef.org
  5. Revue canadienne de l'apprentissage et de la technologie - http://www.cjlt.ca
  6. Revue internationale des technologies en pédagogie universitaire - http://www.profetic.org/revue/
  7. TICE et développement / TDR - Technologies, développement recherche pour l’éducation - http://www.revue-tice.info/
Encadré 5.2 : Principales revues en français dans le domaine des TIC en éducation
La renommée d’une revue est essentiellement liée à la qualité de son comité scientifique et/ou de son comité de lecture. L’idée est qu’une revue qui s’appuie sur des relecteurs disposant d’une notoriété reconnue dans le domaine sera plus exigeante sur la qualité scientifique des articles qu’elle acceptera de publier.
L’examen des propositions de contribution à une revue scientifique respecte une procédure dite « en double aveugle ». Cela signifie que le lecteur ne connaît pas l’auteur de l’article qu’il relit et l’auteur de l’article n’est pas informé du lecteur qui a lu son article. Il s’agit d’une précaution afin d’éviter que certains articles soient favorisés ou défavorisés par l’estime ou la mésestime dans laquelle le lecteur pourrait tenir l’auteur de l’article.

Un autre critère important pour choisir une revue c’est son projet éditorial. A titre d’exemple, nous présentons le projet éditorial de la revue STICEF (Sciences et Technologies de l'Information et de la Communication pour l'Éducation et la Formation) qui se présente comme la revue de référence dans le domaine de l’apprentissage par les environnements informatiques.  La lecture du projet éditorial permet de se rendre compte dans quelle mesure l’article qu’on projette de soumettre entre bien dans les thématiques de la revue.

Continuant, sous une forme remaniée, le projet éditorial de la revue STE (Sciences et Techniques Éducatives) publiée chez Hermès jusqu'en 2002, STICEF est la revue de référence du domaine des EIAH (environnements informatiques et apprentissage humain).
Son champ couvre tout ce qui a trait à :
  • la conception,
  • la réalisation,
  • la mise en œuvre,
  • la validation,
  • l'évaluation,
  • l'apprentissage,
  • l'usage de dispositifs informatiques destinés à faciliter les apprentissages.
Cette revue, publiée en ligne, a l'ambition de contribuer au développement des recherches dans le domaine des EIAH en rendant visibles ses réalisations. Elle comprend deux types de contributions : des articles de recherche et des rubriques. Un volume reprenant toutes les contributions est édité annuellement sur papier.

Encadré 5.3 : projet éditorial de la revue STICEF
Une fois la revue choisie, il est important de s’informer sur le format de publication préconisé par celle-ci. Selon la revue, celui-ci peut être plus ou moins contraignant. Certaines revues imposent une mise en page particulière, limitent le nombre de pages, exigent un résumé dans plusieurs langues, recommandent l’usage de certaines sections… Si on ne fait pas l’effort de respecter ces exigences, il y a peu de chances que la contribution proposée reçoive un accueil favorable.

Le contact entre l’auteur et la revue se fait le plus souvent par l’intermédiaire des éditeurs de la revue qui sont les personnes qui animent la revue. Les éditeurs reçoivent les propositions de texte, les distribuent aux lecteurs, reçoivent les avis des lecteurs et les renvoient avec une note de synthèse vers les auteurs. Généralement, c’est le comité éditorial qui, sur la base de l’avis des lecteurs, prend la décision de publier ou pas une proposition d’article.
La plupart des revues publient à la fois des numéros réguliers et des numéros spéciaux consacrés à des thématiques très ciblées. Il est parfois intéressant de cibler ces numéros thématiques lorsqu’on pense que le sujet que l’on se propose de traiter pourrait s’y inscrire. En effet, ces numéros intéressent souvent davantage de personnes et font généralement l’objet d’une diffusion plus large au sein des communautés de chercheurs intéressés.









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